Tu es belle. Sur ton profile Facebook, tu as ajouté une nouvelle photo. Je voulais te dire que tu es toujours aussi belle.
Bonne fête en retard.
Voici les MOts que la Raison ne peut expliquer pour exprimer un AMOUR, grand, qui défie les années, et pour lequel on peut y ajouter un "S" pour exprimer au pluriel les années qui passent mais encore, pour le Secret. Les mots arrivent à des moments que je ne choisis pas. Voici mon recueil de mots que tu consulteras à ta guise. Ils te rappelleront que j'ai toujours une pensée pour toi, quoi qu'il arrive.
Bonjour mon amour!
C'était à l'hiver 1983. Janvier. Réunis entre amis à la cafétéria de la polyvalente, j'entrevois de l'autre côté de la salle une magnifique jeune fille. C'est la plus belle que je n'aurai jamais la chance de rencontrer au cours de ma vie. Je suis au 5e secondaire. Tu en es à ta 3e année. Sans le savoir, tu allais devenir le plus grand amour de ma vie. L'amour qui allait se perpétuer, mais qui allait aussi se suspendre dans le temps comme un fruit qui ne serait jamais cueilli.
Je raconte ici, sous le couvert de l'anonymat, les péripéties d'un amour qui a traversé le temps. Après 27 ans, notre histoire se poursuit dans la plus grande discrétion. C'est une histoire comme on pourrait en voir au cinéma. Chacun de notre côté, nous avons, malgré nous, préservé la flamme d'un amour qui ne s'est jamais éteinte. Un grand secret que nos parents, nous familles, nos enfants et nos conjoints respectifs ne connaîtront peut-être jamais. Comme la souche d'un volcan qui brûle sous terre pendant que rien ne paraît en surface. Un amour brûlant de vie.
Je raconte ici, sous le couvert de l'anonymat, les péripéties d'un amour qui a traversé le temps. Après 27 ans, notre histoire se poursuit dans la plus grande discrétion. C'est une histoire comme on pourrait en voir au cinéma. Chacun de notre côté, nous avons, malgré nous, préservé la flamme d'un amour qui ne s'est jamais éteinte. Un grand secret que nos parents, nous familles, nos enfants et nos conjoints respectifs ne connaîtront peut-être jamais. Comme la souche d'un volcan qui brûle sous terre pendant que rien ne paraît en surface. Un amour brûlant de vie.
jeudi 22 octobre 2015
vendredi 11 septembre 2015
Et si, et si, et si...
Je fais continuellement une rétrospective sur ce qui est arrivé. J'ai été ébranlé autant d'une façon positive que négative. Rien de méchant, mais voici maintenant que je te livre le fond de ma pensée. Si un jour tu as envie de comprendre, tu as ici l'essentiel pour te faire une idée.
Lorsque je revois le fil des événements, j'arrive à deux grandes conclusions. Formant une dualité à l'infini, ces conclusions sont contradictoires. D'une part, il y a les spéculations, les "si" j'avais fait ceci, "si" tu avais fait cela... D'autre part, il y a le vécu, son authenticité et la séquence des événements. Pourquoi faut-il que tout soit compliqué?
Premièrement, je dois dire que le silence a été dévastateur. Plus facile à dire après coup, mais à mon avis, c'était le pire scénario. Dans mes multiples spéculations, je me dis que notre histoire aurait pu être complètement différente. Ou encore qu'il y aurait eu une véritable fin, si tu avais :
D'un autre point de vue, je fais le bilan de ce que nous avons discuté, de ce que nous avons fait, de la sincérité apparente et ressentie, de nos écrits et aussi d'une question d'argent. J'arrive à une conclusion opposée à la précédente en ce sens que tu étais toujours préoccupée par ce que je vivais. Il y a forcément quelque chose qui a déclenché ce changement drastique dans ton attitude. Sans explications, cette question demeure sans réponse.
Finalement, placés sur le fil du temps, tous les aspects positifs sont apparus dans les débuts de nos retrouvailles. Le côté négatif, que j'associe au silence, est arrivé à la fin. Je conclue que notre symphonie a introduit de belles notes et des mélodies enivrantes avant de se terminer par un immense silence. Froid et noir. Ce silence a une durée plus longue que les premières notes malgré que j'aie tenté en vain de prolonger notre symphonie. Mais la valeur d'un seul musicien ne peut pas égaler celle de l'orchestre que nous formions.
Malgré les difficultés des dernières années, je continue de croire que tu es l'amour de ma vie. Je l'ai dit, je l'ai écrit et je l'ai vécu. C'est un fait. Je souhaite seulement ne pas t'avoir fait vivre le même cauchemar que j'ai traversé.
Meurtri, amer mais pas fâché, et toujours ouvert pour toi malgré tout, je continue mon petit bonhomme de chemin en tentant de faire comme si de rien n'était. Je prie seulement que l'avenir m'apporte autre chose que des déceptions.
Lorsque je revois le fil des événements, j'arrive à deux grandes conclusions. Formant une dualité à l'infini, ces conclusions sont contradictoires. D'une part, il y a les spéculations, les "si" j'avais fait ceci, "si" tu avais fait cela... D'autre part, il y a le vécu, son authenticité et la séquence des événements. Pourquoi faut-il que tout soit compliqué?
Premièrement, je dois dire que le silence a été dévastateur. Plus facile à dire après coup, mais à mon avis, c'était le pire scénario. Dans mes multiples spéculations, je me dis que notre histoire aurait pu être complètement différente. Ou encore qu'il y aurait eu une véritable fin, si tu avais :
- indiqué vouloir prendre une pause;
- dit vouloir prendre du temps pour laisser retomber la poussière;
- indiqué vouloir qu'on se revoit plus tard;
- mentionné que c'est fini;
- dit que tu ne m'aime pas;
- et si, et si, et si...
D'un autre point de vue, je fais le bilan de ce que nous avons discuté, de ce que nous avons fait, de la sincérité apparente et ressentie, de nos écrits et aussi d'une question d'argent. J'arrive à une conclusion opposée à la précédente en ce sens que tu étais toujours préoccupée par ce que je vivais. Il y a forcément quelque chose qui a déclenché ce changement drastique dans ton attitude. Sans explications, cette question demeure sans réponse.
Finalement, placés sur le fil du temps, tous les aspects positifs sont apparus dans les débuts de nos retrouvailles. Le côté négatif, que j'associe au silence, est arrivé à la fin. Je conclue que notre symphonie a introduit de belles notes et des mélodies enivrantes avant de se terminer par un immense silence. Froid et noir. Ce silence a une durée plus longue que les premières notes malgré que j'aie tenté en vain de prolonger notre symphonie. Mais la valeur d'un seul musicien ne peut pas égaler celle de l'orchestre que nous formions.
Malgré les difficultés des dernières années, je continue de croire que tu es l'amour de ma vie. Je l'ai dit, je l'ai écrit et je l'ai vécu. C'est un fait. Je souhaite seulement ne pas t'avoir fait vivre le même cauchemar que j'ai traversé.
Meurtri, amer mais pas fâché, et toujours ouvert pour toi malgré tout, je continue mon petit bonhomme de chemin en tentant de faire comme si de rien n'était. Je prie seulement que l'avenir m'apporte autre chose que des déceptions.
jeudi 6 août 2015
Un court paragraphe pour un long processus
La plus belle des plus belles,
Je viens de passer en revue tous les textes que j'ai postés sur ce blog. Dieu du ciel! J'ai l'impression d'avoir vécu à nouveau, d'un seul trait, notre périple dans tous ses détails. Je n'arrive pas à décrire à quel point les mots étaient parfois chargés d'émotions. L'inspiration était telle que ne pourrais pas réécrire les mêmes textes aujourd'hui. Ce qui me laisse entendre que mon coeur est rendu ailleurs, à ma grande satisfaction.
J'aime moins le texte publié au début de l'année 2015. Il laisse entendre une profonde amertume. Presque de la colère. En réalité, c'était le cas. Mais ça fait partie du processus. Au début, c'était un choc, que j'ai nié pendant longtemps. Ça s'est transformé en tristesse, puis en révolte et en colère. Finalement, je m'y suis résigné et j'ai accepté la situation. Actuellement, je dirais que je suis encore en phase de reconstruction. C'est un processus plutôt long, et ça me fait drôle d'écrire le résumé des dernières années dans un si court paragraphe.
Voilà! Tout ça pour dire que je suis sorti du gouffre.
Je t'embrasse XXX
Je viens de passer en revue tous les textes que j'ai postés sur ce blog. Dieu du ciel! J'ai l'impression d'avoir vécu à nouveau, d'un seul trait, notre périple dans tous ses détails. Je n'arrive pas à décrire à quel point les mots étaient parfois chargés d'émotions. L'inspiration était telle que ne pourrais pas réécrire les mêmes textes aujourd'hui. Ce qui me laisse entendre que mon coeur est rendu ailleurs, à ma grande satisfaction.
J'aime moins le texte publié au début de l'année 2015. Il laisse entendre une profonde amertume. Presque de la colère. En réalité, c'était le cas. Mais ça fait partie du processus. Au début, c'était un choc, que j'ai nié pendant longtemps. Ça s'est transformé en tristesse, puis en révolte et en colère. Finalement, je m'y suis résigné et j'ai accepté la situation. Actuellement, je dirais que je suis encore en phase de reconstruction. C'est un processus plutôt long, et ça me fait drôle d'écrire le résumé des dernières années dans un si court paragraphe.
Voilà! Tout ça pour dire que je suis sorti du gouffre.
Je t'embrasse XXX
mardi 3 février 2015
Sérénité en 2015
J'avance dans l'année 2015 avec sérénité et plus de sagesse. Ma traversée du désert aura durée des années. Quand même. Je remercie le ciel d'être sorti de cette tempête. Il m'arrive de réfléchir à nous et de tenter de trouver des explications. C'est dans ma nature. Comprendre m'aide à accepter.
Notre relation, si on se concentre sur les faits, se résume par une histoire de fesses. Une belle histoire de fesses, j'avoue. Et si on ajoute les sentiments, notre relation prend la forme d'un monologue. Malheureusement pour moi, je suis tombé dans le panneau du sentimentalisme. Les sentiments, ça me joue des tours et ce n'est pourtant pas la première fois.
Et si on ajoute le pouvoir de l'argent, parce que je crois que l'argent a joué un rôle important dans ta décision, notre relation prend la forme d'un superficiel roman savon construit sur un scénario de deuxième ordre. Et moi, j'ai l'impression d'avoir été sélectionné pour jouer le rôle du gigolo de service qu'on jette après l'avoir souillé. J'ai mis du temps à comprendre que tu te sois servie de moi comme un objet sans valeur. Aujourd'hui, je comprends mieux. Je comprends que tu m'as servi la même médecine que tu subis, puisque c'est ce que tu connais. Continue de lire des romans, tu vas finir par reconnaitre qu'il existe autre chose.
Bref, notre histoire, c'est une histoire de cul, dans tous les sens du terme. Je ne suis pas malheureux d'avoir réussi à passer à autre chose. Et, au même titre que tu t'es foutue de moi, je me fout qu'on te paie une femme de ménage pour te faire oublier ton existence de femme de maison sans ambition. Pour te faire oublier aussi que tu es sous contrôle et que ta présence n'est essentielle qu'au bien-être de quelqu'un d'autre. Je me fout que tu sois incapable de prendre des décisions, même les plus fondamentales, que tu sois constamment surveillée et contrainte à obéir sous la menace, que tu sois la femme soumise de quelqu'un, sans être mariée, et non une personne à part entière. Mais tu l'as choisi. Un jour tu réaliseras que tes choix, t'ont fait perdre beaucoup, notamment l'estime de ton père et son héritage. Et si tu les as choisi, c'est que tu ne mérites pas mieux.
Bonne Année 2015.
Notre relation, si on se concentre sur les faits, se résume par une histoire de fesses. Une belle histoire de fesses, j'avoue. Et si on ajoute les sentiments, notre relation prend la forme d'un monologue. Malheureusement pour moi, je suis tombé dans le panneau du sentimentalisme. Les sentiments, ça me joue des tours et ce n'est pourtant pas la première fois.
Et si on ajoute le pouvoir de l'argent, parce que je crois que l'argent a joué un rôle important dans ta décision, notre relation prend la forme d'un superficiel roman savon construit sur un scénario de deuxième ordre. Et moi, j'ai l'impression d'avoir été sélectionné pour jouer le rôle du gigolo de service qu'on jette après l'avoir souillé. J'ai mis du temps à comprendre que tu te sois servie de moi comme un objet sans valeur. Aujourd'hui, je comprends mieux. Je comprends que tu m'as servi la même médecine que tu subis, puisque c'est ce que tu connais. Continue de lire des romans, tu vas finir par reconnaitre qu'il existe autre chose.
Bref, notre histoire, c'est une histoire de cul, dans tous les sens du terme. Je ne suis pas malheureux d'avoir réussi à passer à autre chose. Et, au même titre que tu t'es foutue de moi, je me fout qu'on te paie une femme de ménage pour te faire oublier ton existence de femme de maison sans ambition. Pour te faire oublier aussi que tu es sous contrôle et que ta présence n'est essentielle qu'au bien-être de quelqu'un d'autre. Je me fout que tu sois incapable de prendre des décisions, même les plus fondamentales, que tu sois constamment surveillée et contrainte à obéir sous la menace, que tu sois la femme soumise de quelqu'un, sans être mariée, et non une personne à part entière. Mais tu l'as choisi. Un jour tu réaliseras que tes choix, t'ont fait perdre beaucoup, notamment l'estime de ton père et son héritage. Et si tu les as choisi, c'est que tu ne mérites pas mieux.
Bonne Année 2015.
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